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  • Sortez vos calculs atroces (3)

Notre blogue

Sortez vos calculs atroces (3)

Détails
30 avril 2025

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Est-ce que le budget de l’Université a des secrets ? La réponse est oui, encore. Encore.

Nos deux derniers blogues ont examiné d’un peu plus près la convention collective de l’ABPPUM, avec une attention particulière à certains items qui, du moins à première vue, nous semblent faire l’objet d’un laxisme assez flagrant dans leur application.

La prolifération des crédits de dégrèvement est un problème que nous dénonçons depuis longtemps, mais qui a des conséquences plus graves en période de compressions financières. Le (manque apparent de) suivi au niveau des congés sabbatiques et des congés annuels des membres du corps professoral en est un autre qui pourrait bien s’avérer plus coûteux que prévu si l’Université n’y accorde pas l’attention nécessaire.

Et, comme c’est généralement la population étudiante qui reçoit la facture quand ça devient subitement plus coûteux que prévu, hé bien c’est notre travail à nous d’aller gratter le bobo.

Pensez-en ce que vous voudrez: y’a rien de personnel là-dedans.

Maintenant, assez parlé du corps professoral: aujourd’hui nous parlerons de l'efficacité opérationnelle de l’Université. Parions que c’était pas sur votre carte de bingo ce matin.


Premier arrêt: la livraison des cours.

Tout d’abord, on peut noter le manque d’uniformité dans les critères d’inscription: dans certaines facultés, des limites sont appliquées quant au nombre d’inscriptions par cours - et ailleurs, non. Par exemple, là où il y a des stages, il faut considérer la capacité en termes de placement et/ou supervision des stagiaires. Puis, les moyens n’étant pas illimités, il faut contingenter. Mais dans les cours théoriques à enseignement magistral, on en voit difficilement le besoin.

Ce n’est pas la place - au sens physique de la chose - qui manque dans la plupart des cas, non plus. Au pire, y’a TOUJOURS une classe vide plus grande pas trop loin; mais la gestion des espaces est un problème sur lequel nous reviendrons plus loin. 

Bien souvent, rien n’indique que le contingentement résulte d’une réflexion plutôt que du caprice de certaines personnes pour qui le privilège d’avoir des groupes de taille réduite est devenu une attente au fil des années. 

Est-ce qu’il faut les blâmer pour ça? Pas forcément. N’oublions pas qu’il a fallu le demander au départ et que cette demande soit autorisée, année après année. Il serait là, le problème.

Prenons l’exemple des cours d’introduction: il n’y a aucune raison valable pour qu’un cours puisse compter 50 à 100 personnes (voire plus) dans une faculté alors qu’un cours de même niveau ailleurs soit limité à 25 personnes - moins que tout quand l’effectif étudiant de part et d’autre est à tout point comparable. 

On ne va nommer personne - mais l’enseignement magistral devant 100 personnes ou devant 25 personnes, à la base, ne requiert aucun ajustement majeur du point de vue académique. Au pire il faudra parler un peu plus fort pour le monde au fond, et on a des micros pour ça.

Ensuite, disons un mot sur le partage des ressources entre les campus.

Nous avons, en tant que réseau, un potentiel inexploité (au mieux, largement sous-exploité) en termes de différenciation. Et si, au lieu de répliquer des structures académiques complètes à trois endroits en même temps, nous changions notre approche pour créer des “îlots” de spécialisation qui permettraient aux trois campus d’avoir et d’approfondir leurs propres champs d’expertises? Ou même sans aller aussi loin, pourrait-on optimiser la livraison des cours en début de programme?

Y a-t-il une raison pour laquelle les cours magistraux de niveau 1000 et 2000 ne pourraient pas être offerts à partir d’un campus, en offrant l’accès à distance aux deux autres? L’Université a quand même investi pas mal de ressources dans l’enseignement à distance pendant la pandémie qu’il serait possible de mettre à bon usage. En principe, ce serait réalisable.

D’accord: c’est pas l’idéal, mais la pandémie nous l’a bien montré que la majorité de l’expérience étudiante n’a que peu, sinon rien à voir avec l’enseignement en salle de classe. Du moment où les campus demeurent ouverts et que la plupart des cours sont en présentiel, pourquoi pas? 

Au-delà des considérations académiques, il y a encore un nombre de services qui pourraient être localisés n’importe où dans le réseau et partagés avec les autres campus, mais qui sont dupliqués à l’heure actuelle. On pense par exemple aux Finances (paie), aux Ressources humaines, ou aux Communications. Et aucune raison que tout soit à Moncton, pour être clair.

Mais que tout cela soit possible ou pas, les infrastructures en général sont un problème sur lequel le CDU devrait sérieusement se pencher. En une phrase: on a trop d’édifices et la majorité tombe en miettes. Les améliorations dans la gestion des espaces par le Registrariat nous ont aussi montré qu’il est possible d’en faire un usage infiniment plus efficace. 

Alors pourrait-on condamner (ou transformer en résidences, bureaux, labos, etc.) quelques édifices sans impact majeur sur la livraison des cours? La question se pose. Puis si la réponse est non, well, le statu quo doit pas être si pire qu’il en a l’air, et on comprendra mieux pourquoi.

Parlons du coût: le plus près que je puisse trouver de l’entretien différé pour l’ensemble du parc immobilier de l’UMoncton est une ligne dans les états financiers vérifiés, qui porte l’appellation ésotérique d‘ « amortissement des apports reportés afférents aux immobilisations capitalisées ». Celle-ci indique un coût dépassant 32 M$ de 2020 à 2024.

Ça, ce serait l’argent qu’on devrait dépenser en rénovations pour garder les bâtisses debout. Mais parce qu’on ne le dépense pas - pas complètement en tout cas - on traite cette somme comme un revenu/économie. N’empêche qu’en plus de ne rien régler dans l’immédiat, ça peut seulement empirer la situation à plus long terme.

L’entretien différé des résidences universitaires à elles seules était estimé à 16,1 M$ sur 10 ans en décembre 2023. Notons ici que la construction de 6 des 7 résidences du campus de Moncton a eu lieu entre 1959 (Lefebvre) et 1976 (160 Morton). Quand je vous dis que ça tombe en miettes, ça ne devrait pas surprendre qui que ce soit. On rapièce du rapiécé depuis un bout.

Puis on a entendu le vice-recteur à l’administration et aux ressources humaines (VRARH) citer en exemple la hausse des tarifs d’électricité comme un facteur dans la hausse des droits de scolarité. Couper dans le parc immobilier couperait probablement dans ces dépenses.

Il y a d’autres cibles d’apparence évidentes avant de passer le bill à la population étudiante, si on cherche des économies: par exemple, le fait que le service d’entretien ramasse les ordures sur le campus avec une pelle mécanique de 20 tonnes. Si vraiment c’est là le moyen le plus efficace de procéder, je serais curieux de voir les données qui le démontrent. 

Quoi qu’il en soit, une chose est sûre: dès qu’on pense recevoir moins de monde, le monde qui finit par venir devra payer plus cher. 

Mais si l’année prochaine - par un miracle quelconque - on a une hausse des inscriptions a lieu d’une baisse - et on a vu que ça arrive - ou si la baisse des inscriptions est moins grave qu’on le prévoit, est-ce que la facture aux personnes étudiantes va diminuer? 

Évidemment que non; l’ironie reste que, pour avoir le droit de chialer que c’est trop cher, il faut d’abord avoir payé. Sinon, en plus de s’en foutre, l’Université reste libre de vous ignorer.

Le budget est décidé pour 2025-2026 et ne changera plus. Et quant à savoir si une prédiction ratée pour cette année voudrait dire que la hausse serait diminuée pour 2026-2027, et de combien… pas même besoin de sortir vos calculs atroces.

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