Communiqués de presse
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Les différentes régions du Nouveau-Brunswick ont des enjeux en commun face à l’éducation
Au terme de sa tournée provinciale 2014 pour parler d’éducation, la Fédération des étudiantes et étudiants du Centre universitaire de Moncton est mieux en mesure de tirer des conclusions générales sur l’état des communautés qu’elle a visitées et leurs besoins relativement au système d’éducation, dans une perspective d’avenir.
Au terme de sa tournée provinciale 2014 pour parler d’éducation, la Fédération des étudiantes et étudiants du Centre universitaire de Moncton est mieux en mesure de tirer des conclusions générales sur l’état des communautés qu’elle a visitées et leurs besoins relativement au système d’éducation, dans une perspective d’avenir.
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Citoyens et organismes francophones invités à participer à un débat de société
La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) entreprend dans les prochains jours une tournée provinciale dans le but d’informer la communauté sur les enjeux auxquels fait face l’éducation au Nouveau-Brunswick, ainsi que de tenir une discussion franche et ouverte sur la vision et les aspirations de la communauté francophone quant à l’éducation en tant que moteur du progrès social, économique et communautaire au N-B.
La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) entreprend dans les prochains jours une tournée provinciale dans le but d’informer la communauté sur les enjeux auxquels fait face l’éducation au Nouveau-Brunswick, ainsi que de tenir une discussion franche et ouverte sur la vision et les aspirations de la communauté francophone quant à l’éducation en tant que moteur du progrès social, économique et communautaire au N-B.
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La Fédération étudiante attend des résultats plus concrets
Il y a un an, la Fédération des étudiantes et étudiants du Campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) demandait une réforme du Conseil des Gouverneurs et un poste d’ombudsman. Le Recteur Raymond Théberge, lors de l’anniversaire de l’Université, en promettait autant. Un an plus tard, l’Université annonce enfin que les discussions sont entamées. La FÉÉCUM s’en dit encouragée, mais reste quelque peu sur sa faim et fera pression sur l’Université pour qu’elle aboutisse à des résultats concrets d’ici la fin de l’année.
Il y a un an, la Fédération des étudiantes et étudiants du Campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) demandait une réforme du Conseil des Gouverneurs et un poste d’ombudsman. Le Recteur Raymond Théberge, lors de l’anniversaire de l’Université, en promettait autant. Un an plus tard, l’Université annonce enfin que les discussions sont entamées. La FÉÉCUM s’en dit encouragée, mais reste quelque peu sur sa faim et fera pression sur l’Université pour qu’elle aboutisse à des résultats concrets d’ici la fin de l’année.
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La Fédération étudiante s’indigne des abus de son ancien Recteur
En octobre dernier, le scandale éclatait à l’Université de Moncton alors que le contrat de son ancien Recteur, Yvon Fontaine, devenait disponible grâce à une demande d’accès à l’information et révélait une rente supplémentaire de 45 à 60 000$ annuellement pour le reste de sa vie, en plus de ce qui lui sera déjà versé en vertu du régime de pension. Une nouvelle demande d’accès à l’information faite par Radio-Canada révèle maintenant qu’à la même date, la conjointe du Recteur signait un contrat qui lui aura valu 241 290$ pendant le reste du mandat de M. Fontaine.
En octobre dernier, le scandale éclatait à l’Université de Moncton alors que le contrat de son ancien Recteur, Yvon Fontaine, devenait disponible grâce à une demande d’accès à l’information et révélait une rente supplémentaire de 45 à 60 000$ annuellement pour le reste de sa vie, en plus de ce qui lui sera déjà versé en vertu du régime de pension. Une nouvelle demande d’accès à l’information faite par Radio-Canada révèle maintenant qu’à la même date, la conjointe du Recteur signait un contrat qui lui aura valu 241 290$ pendant le reste du mandat de M. Fontaine.
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Philippe Hurteau parlera de marchandisation de l’éducation
La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) convie la population universitaire et néo-brunswickoise à deux conférences de Philippe Hurteau, chercheur affilié à l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) ce mercredi 12 mars.
La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) convie la population universitaire et néo-brunswickoise à deux conférences de Philippe Hurteau, chercheur affilié à l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS) ce mercredi 12 mars.
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Les nouveaux membres du conseil exécutif de la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) débuteront bientôt leur mandat pour la prochaine année académique. Pendant deux jours consécutifs, les étudiant.e.s du campus de Moncton ont exercé leurs droits démocratiques par l’entremise d’Internet, une stratégie qui assure l’accès au vote à un plus grand nombre de membres, maximisant ainsi la participation aux élections de la Fédération étudiante. Cette année, 1252 étudiant.e.s ont voté, représentant 34,7% de la masse étudiante.
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L’ABPPUM et la FÉÉCUM se disent inquiets pour l’avenir de l’Université
Lors d’une conférence de presse ce lundi 24 février, l’Association des bibliothécaires et professeures et professeurs de l’Université de Moncton (ABPPUM) et la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) exprimaient toutes deux de vives inquiétudes par rapport à la survie de certains programmes d’études à l’Université de Moncton. Ces préoccupations découlent de la perspective d’abolition mise de l’avant par un Comité ad hoc du Sénat académique de l’Université qui avait pour mandat d’étudier la « viabilité » de certains programmes, notamment en fonction de leur « performances » en termes de diplômé.e.s. Selon les deux associations, les propositions mises de l’avant par un comité interne à l’Université reposent sur un processus et une méthodologie quantitative fort discutables.
Lors d’une conférence de presse ce lundi 24 février, l’Association des bibliothécaires et professeures et professeurs de l’Université de Moncton (ABPPUM) et la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) exprimaient toutes deux de vives inquiétudes par rapport à la survie de certains programmes d’études à l’Université de Moncton. Ces préoccupations découlent de la perspective d’abolition mise de l’avant par un Comité ad hoc du Sénat académique de l’Université qui avait pour mandat d’étudier la « viabilité » de certains programmes, notamment en fonction de leur « performances » en termes de diplômé.e.s. Selon les deux associations, les propositions mises de l’avant par un comité interne à l’Université reposent sur un processus et une méthodologie quantitative fort discutables.
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Une marche silencieuse est organisée à l’Université de Moncton
Ce lundi 10 février, entre 11h15 et 12h15, l’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AÉÉIUM), avec la collaboration de la FÉÉCUM, organise une marche silencieuse pour protester contre les hausses faramineuses des droits de scolarité imposées à ses membres et du même coup, les augmentations continuelles auxquelles font face les étudiants de l’Université de Moncton, toute origine confondue. La manifestation aura lieu en parallèle à l’ouverture de la Semaine internationale au Centre étudiant au même moment.
On se souviendra que le Conseil des Gouverneurs de l’Université de Moncton votait, en avril dernier, une augmentation de 150$ pour les étudiants canadiens, le maximum alloué par le gouvernement du Nouveau-Brunswick, et de façon écrasante, de 1000$ pour les étudiants internationaux. Selon la présidente de l’AÉÉIUM, Diane Gnonlonfin, c’est signe que l’Université ne voit les étudiants internationaux que comme des vaches à lait : « L’Université n’a pas pensé à l’impact sur la rétention d’étudiants déjà ici, ni sur les familles qui ont des fils et des filles à Moncton. » Ce 1000$ représentait 11,1% d’augmentation, chiffrant les droits de scolarité à un nouveau plateau de 9972$. Et maintenant l’AÉÉIUM craint une autre hausse surprise dans un proche avenir.
L’AÉÉIUM et la FÉÉCUM demande à l’Université de promettre qu’il n’y aura pas de hausse des droits de scolarité cette année. Également, que le Recteur Théberge déclare publiquement que de telles hausses sont inacceptables, et enfin, une garantie que de telles hausses ne surviendront pas dans les années à venir. Notons de plus que l’AÉÉIUM ne participera à aucune activité organisée par l’Université dans le cadre de la Semaine internationale.
La marche silencieuse partira du Centre étudiant et fera le tour du campus avant d’y revenir, et servira de précurseur à une rencontre avec le Recteur.
Source : Diane Gnonlonfin, Présidente de l'AÉÉIUM
Ce lundi 10 février, entre 11h15 et 12h15, l’Association des étudiantes et étudiants internationaux de l’Université de Moncton (AÉÉIUM), avec la collaboration de la FÉÉCUM, organise une marche silencieuse pour protester contre les hausses faramineuses des droits de scolarité imposées à ses membres et du même coup, les augmentations continuelles auxquelles font face les étudiants de l’Université de Moncton, toute origine confondue. La manifestation aura lieu en parallèle à l’ouverture de la Semaine internationale au Centre étudiant au même moment.
On se souviendra que le Conseil des Gouverneurs de l’Université de Moncton votait, en avril dernier, une augmentation de 150$ pour les étudiants canadiens, le maximum alloué par le gouvernement du Nouveau-Brunswick, et de façon écrasante, de 1000$ pour les étudiants internationaux. Selon la présidente de l’AÉÉIUM, Diane Gnonlonfin, c’est signe que l’Université ne voit les étudiants internationaux que comme des vaches à lait : « L’Université n’a pas pensé à l’impact sur la rétention d’étudiants déjà ici, ni sur les familles qui ont des fils et des filles à Moncton. » Ce 1000$ représentait 11,1% d’augmentation, chiffrant les droits de scolarité à un nouveau plateau de 9972$. Et maintenant l’AÉÉIUM craint une autre hausse surprise dans un proche avenir.
L’AÉÉIUM et la FÉÉCUM demande à l’Université de promettre qu’il n’y aura pas de hausse des droits de scolarité cette année. Également, que le Recteur Théberge déclare publiquement que de telles hausses sont inacceptables, et enfin, une garantie que de telles hausses ne surviendront pas dans les années à venir. Notons de plus que l’AÉÉIUM ne participera à aucune activité organisée par l’Université dans le cadre de la Semaine internationale.
La marche silencieuse partira du Centre étudiant et fera le tour du campus avant d’y revenir, et servira de précurseur à une rencontre avec le Recteur.
Source : Diane Gnonlonfin, Présidente de l'AÉÉIUM
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La FÉÉCUM offre une solution depuis longtemps : Un poste d’Ombudsman
Plus tôt aujourd’hui, Radio-Canada révélait, suite à une demande une demande en vertu du droit d'accès à l'information, que dans les derniers trois ans, l’Université de Moncton aurait dépensé plus d’un demi-million $ en frais d’avocat. Pour la Fédération des étudiantes et étudiants du Campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM), cette somme est démesurée et aurait pu être de beaucoup diminuée si l’Université détenait l’Ombudsman universitaire pour lequel les étudiants militent depuis longtemps, et qui, malgré les promesses du Recteur Théberge l’été dernier, tarde à se matérialiser.
Plus tôt aujourd’hui, Radio-Canada révélait, suite à une demande une demande en vertu du droit d'accès à l'information, que dans les derniers trois ans, l’Université de Moncton aurait dépensé plus d’un demi-million $ en frais d’avocat. Pour la Fédération des étudiantes et étudiants du Campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM), cette somme est démesurée et aurait pu être de beaucoup diminuée si l’Université détenait l’Ombudsman universitaire pour lequel les étudiants militent depuis longtemps, et qui, malgré les promesses du Recteur Théberge l’été dernier, tarde à se matérialiser.
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Plus de 2500 citoyens et tous les membres du Forum des organismes acadiens ont signé
Le jeudi 12 décembre 2013
Le 25 septembre dernier, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lançait une pétition intitulée « Cessons les coupures - Faisons de l'éducation un projet de société » pour interpeler la population du Nouveau-Brunswick sur la question de plus en plus urgente de l'éducation dans la province. Aujourd’hui vers 14h, la pétition aura été déposée à l’Assemblée législative de la province, avec l’appui des membres du Forum des organismes acadiens et de plus de 2500 citoyen ayant prêté leur signature au document.
Le jeudi 12 décembre 2013
Le 25 septembre dernier, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lançait une pétition intitulée « Cessons les coupures - Faisons de l'éducation un projet de société » pour interpeler la population du Nouveau-Brunswick sur la question de plus en plus urgente de l'éducation dans la province. Aujourd’hui vers 14h, la pétition aura été déposée à l’Assemblée législative de la province, avec l’appui des membres du Forum des organismes acadiens et de plus de 2500 citoyen ayant prêté leur signature au document.
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Le problème s’empire au lieu de se régler, selon la FÉÉCUM
Le 31 octobre 2013
Suite à l’annonce du gouvernement du Nouveau-Brunswick d’une entente pluriannuelle pour le financement des universités, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) s’insurge contre le manque de vision accablant de la province. Les universités pourront maintenant prévoir une hausse de financement de 2% par année les prochains deux ans, et une hausse de 3% des droits de scolarité par année pour les prochains trois ans.
Le 31 octobre 2013
Suite à l’annonce du gouvernement du Nouveau-Brunswick d’une entente pluriannuelle pour le financement des universités, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) s’insurge contre le manque de vision accablant de la province. Les universités pourront maintenant prévoir une hausse de financement de 2% par année les prochains deux ans, et une hausse de 3% des droits de scolarité par année pour les prochains trois ans.
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La FÉÉCUM profite du Forum citoyen sur l'éducation pour interpeler les citoyens de la province
Le 23 septembre 2013
En marge du Forum citoyen sur l'éducation du 25 septembre prochain, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lancera une pétition intitulée « Cessons les coupures - Faisons de l'éducation un projet de société » pour interpeler la population du Nouveau-Brunswick sur la question de plus en plus urgente de l'éducation dans la province. La SANB a d'ailleurs déjà conféré son appui à la pétition.
Le 23 septembre 2013
En marge du Forum citoyen sur l'éducation du 25 septembre prochain, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lancera une pétition intitulée « Cessons les coupures - Faisons de l'éducation un projet de société » pour interpeler la population du Nouveau-Brunswick sur la question de plus en plus urgente de l'éducation dans la province. La SANB a d'ailleurs déjà conféré son appui à la pétition.
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Le 18 septembre 2013
L'éducation comme projet de société mise à l'avant-plan par la FÉÉCUM
La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) invite la population à un Forum citoyen pour discuter des enjeux entourant l'éducation comme projet de société. Ce forum, ouvert à tout le monde, aura lieu le mercredi 25 septembre au Soixante-Trois (Centre étudiant de l'Université de Moncton) de 13h à 16h, et inclura un débat des chefs politiques du Nouveau-Brunswick sur la question.
L'éducation comme projet de société mise à l'avant-plan par la FÉÉCUM
La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) invite la population à un Forum citoyen pour discuter des enjeux entourant l'éducation comme projet de société. Ce forum, ouvert à tout le monde, aura lieu le mercredi 25 septembre au Soixante-Trois (Centre étudiant de l'Université de Moncton) de 13h à 16h, et inclura un débat des chefs politiques du Nouveau-Brunswick sur la question.
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Citoyens et organismes francophones invités à participer à un débat de société
Le 17 juillet 2013
La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) entreprend dans les prochains jours une tournée provinciale dans le but de promouvoir l'importance de l'éducation pour l'avenir du Nouveau-Brunswick, sous le thème «L'éducation, un projet de société».
Le 17 juillet 2013
La Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) entreprend dans les prochains jours une tournée provinciale dans le but de promouvoir l'importance de l'éducation pour l'avenir du Nouveau-Brunswick, sous le thème «L'éducation, un projet de société».
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La Fédération étudiante exige une réforme du Conseil des gouverneurs et un poste d'ombudsman
14 juin 2013
Dans la foulée des événements médiatisés cette semaine, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) demande au Recteur de l'Université de Moncton, M.Raymond Théberge, de prendre des moyens concrets pour assurer la transparence de l'institution et restaurer la confiance publique en elle, et ce, dans les jours à venir. Pour la Fédération étudiante, cette démarche doit inclure une réforme du Conseil des gouverneurs et la création d'un poste d'ombudsman ou défendeur des droits étudiants.
14 juin 2013
Dans la foulée des événements médiatisés cette semaine, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) demande au Recteur de l'Université de Moncton, M.Raymond Théberge, de prendre des moyens concrets pour assurer la transparence de l'institution et restaurer la confiance publique en elle, et ce, dans les jours à venir. Pour la Fédération étudiante, cette démarche doit inclure une réforme du Conseil des gouverneurs et la création d'un poste d'ombudsman ou défendeur des droits étudiants.
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Dans la foulée du livre-choc de Serge Rousselle, la Fédération voit l'opportunité de réitérer ses demandes
11 juin 2013
Cette semaine, Serge Rousselle lançait Pris en flagrant délit, son plus récent ouvrage détaillant un cas récent de malfaisance procédurale au sein de la plus haute instance de l'Université de Moncton, où il appelle à la fin d'une culture de confidentialité et au besoin d'un poste d'ombudsman pour mettre fin à la corruption et l'arbitraire au sein de l'institution. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) appuie les conclusions de M. Rousselle, conclusions soutenues par la Fédération depuis déjà longtemps et pour lesquelles elle applaudie l'auteur.
11 juin 2013
Cette semaine, Serge Rousselle lançait Pris en flagrant délit, son plus récent ouvrage détaillant un cas récent de malfaisance procédurale au sein de la plus haute instance de l'Université de Moncton, où il appelle à la fin d'une culture de confidentialité et au besoin d'un poste d'ombudsman pour mettre fin à la corruption et l'arbitraire au sein de l'institution. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) appuie les conclusions de M. Rousselle, conclusions soutenues par la Fédération depuis déjà longtemps et pour lesquelles elle applaudie l'auteur.
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5 juin 2013
Lors de la dernière assemblée générale annuelle du Front Commun pour la Justice Sociale (FCJS), la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) proposait que ce dernier inclut les étudiants et étudiantes comme groupe vivant en pauvreté dans ses luttes et revendications du FCJS pour la réduction de la pauvreté. Adoptée à l'unanimité, il s'agit d'une première collaboration entre les deux organismes.
Lors de la dernière assemblée générale annuelle du Front Commun pour la Justice Sociale (FCJS), la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) proposait que ce dernier inclut les étudiants et étudiantes comme groupe vivant en pauvreté dans ses luttes et revendications du FCJS pour la réduction de la pauvreté. Adoptée à l'unanimité, il s'agit d'une première collaboration entre les deux organismes.
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Les étudiants manifestent leur mécontentement
13 avril 2013
Ce samedi matin, le Conseil des Gouverneurs de l'Université de Moncton, malgré plusieurs votes contre, adoptait un budget imposant une augmentation des droits de scolarité de 149$ aux étudiants canadiens (2,8% d'augmentation pour un total de 5442$) et de 999$ aux étudiants internationaux (11,1% d'augmentation pour un total de 9972$). Des membres de la Fédération des étudiants et étudiantes de l'Université de Moncton (FÉÉCUM) ont conduit une manifestation au Pavillon Léopold-Taillon en début d'après-midi pour faire connaitre leur frustration.
13 avril 2013
Ce samedi matin, le Conseil des Gouverneurs de l'Université de Moncton, malgré plusieurs votes contre, adoptait un budget imposant une augmentation des droits de scolarité de 149$ aux étudiants canadiens (2,8% d'augmentation pour un total de 5442$) et de 999$ aux étudiants internationaux (11,1% d'augmentation pour un total de 9972$). Des membres de la Fédération des étudiants et étudiantes de l'Université de Moncton (FÉÉCUM) ont conduit une manifestation au Pavillon Léopold-Taillon en début d'après-midi pour faire connaitre leur frustration.
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La FÉÉCUM brise le silence pour dénoncer des hausses faramineuses des droits de scolarité
11 avril 2013
Ce samedi 13 avril, le Conseil des Gouverneurs de l'Université de Moncton se réunira pour adopter un budget qui augmentera de 150$ les droits de scolarité des étudiants canadiens – le maximum alloué par le gouvernement provincial, soit 2,8% d'augmentation – et de 1000$ – une augmentation incroyable de 11,1% – ceux des étudiants internationaux, pour ne rien dire de la hausse des frais de logement qui devrait considérablement affecter cette dernière population. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) prépare une manifestation pour s'opposer à ces écrasantes augmentations.
11 avril 2013
Ce samedi 13 avril, le Conseil des Gouverneurs de l'Université de Moncton se réunira pour adopter un budget qui augmentera de 150$ les droits de scolarité des étudiants canadiens – le maximum alloué par le gouvernement provincial, soit 2,8% d'augmentation – et de 1000$ – une augmentation incroyable de 11,1% – ceux des étudiants internationaux, pour ne rien dire de la hausse des frais de logement qui devrait considérablement affecter cette dernière population. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) prépare une manifestation pour s'opposer à ces écrasantes augmentations.
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26 février 2013
Les nouveaux membres du conseil exécutif de la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) débuteront bientôt leur mandat pour la prochaine année académique. Pendant deux jours consécutifs, les étudiant.e.s du campus de Moncton ont exercé leurs droits démocratiques par l'entremise d'Internet, une stratégie qui assure l'accès au vote à un plus grand nombre de membres, maximisant ainsi la participation aux élections de la Fédération étudiante. Cette année, 1208 étudiant.e.s ont voté, représentant 31,6% de la masse étudiante.
Les nouveaux membres du conseil exécutif de la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) débuteront bientôt leur mandat pour la prochaine année académique. Pendant deux jours consécutifs, les étudiant.e.s du campus de Moncton ont exercé leurs droits démocratiques par l'entremise d'Internet, une stratégie qui assure l'accès au vote à un plus grand nombre de membres, maximisant ainsi la participation aux élections de la Fédération étudiante. Cette année, 1208 étudiant.e.s ont voté, représentant 31,6% de la masse étudiante.