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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
Un peu à l’image des emballages spéciaux de l’Halloween, on vous fait un spécial 2 pour 1 sur les nouvelles cette semaine, allez hop!
Il y a deux semaines, pendant que s’estompait –bruyamment- la colère à l’égard des conditions de retraite d’Yvon Fontaine (voir la lettre de Marie-Noëlle Ryan, présidente de l’ABPPUM, dans l’Acadie Nouvelle du 5 octobre, en p. 17, et la réaction d’un groupe de profs de SCPO dans celle du 11 octobre, en p. 19), les étudiants internationaux de l’UdeM mettaient à exécution leur menace de boycotter la Soirée internationale. On parle d’un geste éloquent : l’AÉÉIUM force, à toutes fins pratiques, l’annulation de la Soirée internationale en guise de contestation de la hausse de 999$ qui leur a été imposée le printemps dernier (L’Acadie Nouvelle).
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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
Des recommandations ont été soumises à l’examen du Sénat académique de l’UdeM cette semaine quant à l’abandon de plusieurs programmes (L’Acadie Nouvelle). Un comité du Sénat doit maintenant en examiner le contenu et entendre la réponse des responsables des programmes concernés. Professeurs et étudiants, par la voix de leur représentants, laissent entendre leur désaccord avec l’idée d’abandonner des programmes sous prétexte d’un faible taux de diplomation (L’Acadie Nouvelle) et d’une faiblesse au niveau de critères comme «la valeur sociale», dont la mesure, pour Marie-Noëlle Ryan, tient du mystère. Kevin Arseneau déplore pour sa part le fait que les programmes sous la menace du couperet sont tous du domaine des sciences humaines et sociales; du même souffle il laisse entendre que les efforts de recrutement nécessaires ne sont peut-être pas déployés par l’UdeM pour combler ces lacunes.
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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
Quand une craque assez grosse pour laisser passer Mike Duffy s’ouvre dans la façade du pouvoir conservateur, aucun doute ne persiste quant à savoir si le Premier ministre tient son caucus un petit peu trop serré.
Hmmmmphhhiihihihihihi!!! Bon, OK, on repart :
Le processus est familier, on l’a vu se produire ici à l’Université de Moncton; quand un individu en position de pouvoir cherche à imposer par des mesures institutionnellement ‘‘justifiables’’ son contrôle sur tous les aspects du processus dont il devrait en fait être le gardien et le porte-parole, éventuellement, soit la pression exercée génère la fuite d’information, soit un changement de direction ouvre les portes sur l’arcane.
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Le problème s’empire au lieu de se régler, selon la FÉÉCUM
Suite à l’annonce du gouvernement du Nouveau-Brunswick d’une entente pluriannuelle pour le financement des universités, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) s’insurge contre le manque de vision accablant de la province. Les universités pourront maintenant prévoir une hausse de financement de 2% par année les prochains deux ans, et une hausse de 3% des droits de scolarité par année pour les prochains trois ans.
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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
Non pas une, mais deux annonces cette semaine ont affecté de façon importante l’éducation postsecondaire. Tu sais, pendant la semaine où les étudiants sont pas là ni pour écouter ni pour critiquer. Drôle d’adonnance!
Les voici, si vous les avez manquées :
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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
Le discours du Trône, qui établit le programme de la nouvelle session de la législature provinciale, a été prononcé lundi à Fredericton. Sans qu’on s’en étonne, l’économie et le développement des ressources naturelles sont au cœur du discours (L’Acadie Nouvelle). Mais de-ci, de-là, d’autres bribes d’information juste assez vague ont visé à peu près tous les groupes d’intérêt du N-B, poussant notamment le chef libéral Brian Gallant à déclarer que le gouvernement a trop de priorités pour qu’on les prenne au sérieux, que ce discours du Trône avait d’abord des visées électorales.
C’est certain que dévoiler un plan de redressement général à la dernière année d’un mandat, ça ne fait pas très sérieux.
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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
Pour une minute, imaginez la politique comme une partie de poker.
Soit dit en passant, je n'ai par la moindre idée des rudiments du jeu et le portrait que je vais brosser puise plus chez Lucky Luke que dans la réalité. Vous savez, quand une carte tombe de la manche d'un des joueurs, et qu'un autre flippe la table en brandissant sa pétoire?
C'est presque ridicule, mais le parallèle semble intéressant, et l'image, féconde.
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La FÉÉCUM profite du Forum citoyen sur l'éducation pour interpeler les citoyens de la province
En marge du Forum citoyen sur l'éducation du 25 septembre prochain, la Fédération des étudiantes et étudiants du campus universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lancera une pétition intitulée « Cessons les coupures - Faisons de l'éducation un projet de société » pour interpeler la population du Nouveau-Brunswick sur la question de plus en plus urgente de l'éducation dans la province. La SANB a d'ailleurs déjà conféré son appui à la pétition.
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par Raymond Blanchard, agent de recherche et projets
L'Université de Moncton, je ne vous l'apprend pas, a été récemment aux prises avec de fortes critiques à l'égard de la qualité du français chez ses étudiant(e)s et ses diplômé(e)s. Le tout à débuté comme une guerre de clochers entre profs (comme c'est souvent le cas) qui a débordé dans les médias, puis s'est étendue au reste de la communauté. La FÉÉCUM n'a pas été exempte, mais en bout de ligne des actions ont été entreprises pour régler le problème que nous avions soulevé au sein de cette controverse (Info-FÉÉCUM), et qui touchait aux droits des étudiant(e)s plutôt qu' à la question de la qualité de la langue.
Mais cette question demeure. C'est pourquoi le Conseil de la langue française de l'UdeM soumet actuellement à l'opinion de la communauté universitaire des trois campus son projet de nouvelles exigences linguistiques (CLF).
L'Université de Moncton, je ne vous l'apprend pas, a été récemment aux prises avec de fortes critiques à l'égard de la qualité du français chez ses étudiant(e)s et ses diplômé(e)s. Le tout à débuté comme une guerre de clochers entre profs (comme c'est souvent le cas) qui a débordé dans les médias, puis s'est étendue au reste de la communauté. La FÉÉCUM n'a pas été exempte, mais en bout de ligne des actions ont été entreprises pour régler le problème que nous avions soulevé au sein de cette controverse (Info-FÉÉCUM), et qui touchait aux droits des étudiant(e)s plutôt qu' à la question de la qualité de la langue.
Mais cette question demeure. C'est pourquoi le Conseil de la langue française de l'UdeM soumet actuellement à l'opinion de la communauté universitaire des trois campus son projet de nouvelles exigences linguistiques (CLF).
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Vendredi dernier se déroulait la Course folle, 2e épreuve de la Coupe FÉÉCUM, une course à obstacle à travers le campus qui, annuellement, rend la vie difficile aux participants. Mais rarement autant que cette année. Pour une raison ou une autre - et il faut en rire pour ne pas pleurer - des éléments hors de tout contrôle ont fait de leur mieux pour ajouter à la difficulté, pour ne pas dire complètement dérouter l'événement! Tout d'abord, la météo était atroce, au mieux maussade, au pire comme être sous l'eau. Ensuite, une initiative récente pour les employés de l'Université, un rallye vaguement basé sur l'Amazing Race, a brouillé les cartes pour nos équipes. Plusieurs se sont laissé distraire par des indices et activités destinés à cette course-LÀ! (Leurs enveloppes n'avaient pas été enlevées depuis l'activité qui était le jour précédent.) Et on ajoute à la confusion quand nous avons envoyé les joueurs à un indice en ligne, mais au lieu de voir ceci...